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« Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 1.djvu/332 » : différence entre les versions

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LES GUÉPES. 321 Uaccusaruun. Dis toi-même; car je n’ai besoin ni de proces, ni d’af- faires. 1>1-ixLor<1.1§ôN. Un Sybarite tombe d’un char, et peu s’en faut qu’il ne se fende très grièvement la tête, vu qu’il n’etait pas très fort en science hippique. Un de ses amis survient, qui lui dit: « Que chacun fasse son métier! » De même toi, tu n’as qu’à courir chez Pittalos. Bnénvxrèôu. Rien de changé en toi, tu as toujours la même humeur. i.’AccusAT12u R, â son témoin. Souviens-toi bien, toi, de ce qu’il a répondu. rmr.0 i<LÉôN. Écoute, ne t’en va pas. Un jour, à Sybaris, une femme brise un coffret. 1.’AccusATEuR. Je te prends à témoin. r1~i1L©Kr.ÉôN. Le cofïret prend un témoin. Le Sybarite lui dit: « Par Kora, laisse donc là tous ces témoignagnes, et achète des ligatures, tu feras preuve de plus de bon sens. » L’AccusArEuR. Fais l’ins0lent jusqu’à ce que l’arkh0nte appelle l’al— faire. I. il