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J’ai une pitié immense pour les coutures de son ventre |
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J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche |
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Tu es seul le matin va venir |
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Les laitiers font tinter leurs bidons dans les rues |
Les laitiers font tinter leurs bidons dans les rues |
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La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle Métive |
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C’est Ferdine la fausse ou Léa l’attentive |
C’est Ferdine la fausse ou Léa l’attentive |
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Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie |
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Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie |
Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie |
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Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied |
Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied |
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Ils sont des Christ d’une autre forme et d’une autre croyance |
Ils sont des Christ d’une autre forme et d’une autre croyance |
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Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances |
Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances |
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Adieu Adieu |
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Soleil cou coupé |
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Version du 17 décembre 2010 à 09:00
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
J’ai une pitié immense pour les coutures de son ventre
J’humilie maintenant à une pauvre fille au rire horrible ma bouche
Tu es seul le matin va venir
Les laitiers font tinter leurs bidons dans les rues
La nuit s’éloigne ainsi qu’une belle Métive
C’est Ferdine la fausse ou Léa l’attentive
Et tu bois cet alcool brûlant comme ta vie
Ta vie que tu bois comme une eau-de-vie
Tu marches vers Auteuil tu veux aller chez toi à pied
Dormir parmi tes fétiches d’Océanie et de Guinée
Ils sont des Christ d’une autre forme et d’une autre croyance
Ce sont les Christ inférieurs des obscures espérances
Adieu Adieu
Soleil cou coupé