« Page:Verne - De la Terre à la lune.djvu/60 » : différence entre les versions

La bibliothèque libre.
mAucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 2 : Ligne 2 :
<noinclude>[[Fichier:Delaterrelalun00vern 0066 1.png|thumb|400px|Le capitaine Nicholl.]]</noinclude>
<noinclude>[[Fichier:Delaterrelalun00vern 0066 1.png|thumb|400px|Le capitaine Nicholl.]]</noinclude>
« Un simple détail, une bagatelle », disait J.-T. Maston.<ref>NOTA — Dans cette discussion le président Barbicane revendique pour l’un de ses compatriotes l’invention du collodion. C’est une erreur, n’en déplaise au brave J.-T. Maston, et elle vient de la similitude de deux noms.
« Un simple détail, une bagatelle », disait J.-T. Maston.<ref>NOTA — Dans cette discussion le président Barbicane revendique pour l’un de ses compatriotes l’invention du collodion. C’est une erreur, n’en déplaise au brave J.-T. Maston, et elle vient de la similitude de deux noms.
<p>

En 1847, Maynard, étudiant en médecine à Boston, a bien eu l’idée d’employer le collodion au traitement des plaies, mais le collodion était connu en 1846. C’est à un Français, un esprit très distingué, un savant tout à la fois peintre, poète, philosophe, helléniste et chimiste, M. Louis Ménard, que revient l’honneur de cette grande découverte. — J. V.</ref>
En 1847, Maynard, étudiant en médecine à Boston, a bien eu l’idée d’employer le collodion au traitement des plaies, mais le collodion était connu en 1846. C’est à un Français, un esprit très distingué, un savant tout à la fois peintre, poète, philosophe, helléniste et chimiste, M. Louis Ménard, que revient l’honneur de cette grande découverte. — J. V.</ref>

Version du 2 août 2011 à 10:09

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

audacieux collègues, auxquels rien ne semblait impossible, venaient de résoudre la question si complexe du projectile, du canon et des poudres. Leur plan étant fait, il n’y avait qu’à l’exécuter.

Le capitaine Nicholl.

« Un simple détail, une bagatelle », disait J.-T. Maston.[1]

  1. NOTA — Dans cette discussion le président Barbicane revendique pour l’un de ses compatriotes l’invention du collodion. C’est une erreur, n’en déplaise au brave J.-T. Maston, et elle vient de la similitude de deux noms.

    En 1847, Maynard, étudiant en médecine à Boston, a bien eu l’idée d’employer le collodion au traitement des plaies, mais le collodion était connu en 1846. C’est à un Français, un esprit très distingué, un savant tout à la fois peintre, poète, philosophe, helléniste et chimiste, M. Louis Ménard, que revient l’honneur de cette grande découverte. — J. V.