« Page:Pierre de Coubertin - Amélioration Developpement, 1915.djvu/40 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret2|direc|tement}} ta grandeur nationale - enfin par un tant pour cent prélevé sur les recettes de tous les spectacles et concours sportifs payants. Il y a beau... » |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{tiret2|direc|tement}} |
{{tiret2|direc|tement}} la grandeur nationale — enfin par un tant pour |
||
cent prélevé sur les recettes de tous les spectacles et |
cent prélevé sur les recettes de tous les spectacles et |
||
concours sportifs payants. |
concours sportifs payants. |
||
Ligne 9 : | Ligne 9 : | ||
goût et de la pratique des exercices physiques. Au lieu |
goût et de la pratique des exercices physiques. Au lieu |
||
de demander aux organisateurs d’un match de football |
de demander aux organisateurs d’un match de football |
||
ou d’un championnat de boxe un «droit des pauvres». |
ou d’un championnat de boxe un « droit des pauvres ». |
||
qui n’est pas tout à fait à sa place dans des réunions de |
qui n’est pas tout à fait à sa place dans des réunions de |
||
ce genre, on leur demanderait un «droit de |
ce genre, on leur demanderait un « droit de l’éducation |
||
physique |
physique » contre la légitimité duquel personne assurément |
||
ne saurait formuler de critique. |
ne saurait formuler de critique. |
||
Version du 6 mars 2018 à 21:07
tement la grandeur nationale — enfin par un tant pour cent prélevé sur les recettes de tous les spectacles et concours sportifs payants.
Il y a beaucoup à dire contre les réunions de ce genre qui vont se multipliant et n’exercent évidemment pas une influence très moralisante sur les milieux sportifs tout en aidant de façon indéniable à la diffusion du goût et de la pratique des exercices physiques. Au lieu de demander aux organisateurs d’un match de football ou d’un championnat de boxe un « droit des pauvres ». qui n’est pas tout à fait à sa place dans des réunions de ce genre, on leur demanderait un « droit de l’éducation physique » contre la légitimité duquel personne assurément ne saurait formuler de critique.
La Caisse de ’Education physique posséderait de la sorte chaque année des ressources dont la répartition serait opérée par décision ministérielle d’après les propositions formulées partes Comités académiques d’Education physique et transmis par les recteurs, présidents de ces comités. Ce point est essentiel, car ce n’est pas de Paris que l’on peut juger et approuver ta façon dont il convient de bien empl oyer des crédits destinés à être répartis par petites sommes d’un bout à l’autre du pays.