« Page:Clausewitz - Théorie de la grande guerre, III.djvu/157 » : différence entre les versions
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Au commencement de la campagne de 1812 l’empereur Alexandre ne soupçonnait peut-être pas la grandeur de la catastrophe à laquelle la guerre allait conduire son adversaire, mais l’eût-il réellement prévu que rien n’eût cependant été plus naturel de la part des Russes que de débuter par la défensive. |
Au commencement de la campagne de 1812 l’empereur Alexandre ne soupçonnait peut-être pas la grandeur de la catastrophe à laquelle la guerre allait conduire son adversaire, mais l’eût-il réellement prévu que rien n’eût cependant été plus naturel de la part des Russes que de débuter par la défensive. |
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Version du 15 mai 2021 à 14:46
tactique toute défensive sans principe positif est absurde, et que, par conséquent, dès que les avantages de la forme défensive sont épuisés le défenseur doit avec toutes ses forces passer à l’offensive, il est parfaitement admissible non seulement que dès le principe le but du défenseur soit de renverser son adversaire s’il y peut arriver, mais même que celui des deux belligérants qui a formellement en vue le renversement de l’autre préfère débuter par la forme défensive.
Au commencement de la campagne de 1812 l’empereur Alexandre ne soupçonnait peut-être pas la grandeur de la catastrophe à laquelle la guerre allait conduire son adversaire, mais l’eût-il réellement prévu que rien n’eût cependant été plus naturel de la part des Russes que de débuter par la défensive.