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Blosseville, [noble escuier, |
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Vous savez que du droit sentier |
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Avant qu’ilz aillent aultre voye, |
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Donnez leur ung tour du mestier. |
Donnez leur ung tour du mestier. |
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Blosseville [noble escuier, |
Blosseville [noble escuier, |
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Tous ces fatraz je vous envoye, |
Tous ces fatraz je vous envoye, |
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Que ne sont pas de main d’ouvrier.] |
Que ne sont pas de main d’ouvrier.] |
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{{Centré|{{sc|cxxiv}}<ref>{{sc|cxxiv}}. ''Ce quatrain, rimé sans doute par Blosseville, est |
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De corriger les faiz du maistre |
De corriger les faiz du maistre |
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Qui est du mestier tant rusé.</poem> |
Qui est du mestier tant rusé.</poem> |
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CXXÏV. – t. Ce ~Mh-<)t, rimé MM! ~OM<e ~<!t’ Blosseville, est |
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la réponse a /ce~rece~e)!«. |
Version du 15 avril 2011 à 07:13
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106
RONDEAUX
D’amender ilz ont bien mestier,
Et je vous pri qu’on y pourvoye ;
Blosseville, [noble escuier,
Tous ces fatraz je vous envoye.]
Vous savez que du droit sentier
En tel cas maint ung se desvoye ;
Avant qu’ilz aillent aultre voye,
Donnez leur ung tour du mestier.
Blosseville [noble escuier,
Tous ces fatraz je vous envoye,
Ce non obstant que chacun voye
Que ne sont pas de main d’ouvrier.]
cxxiv[1]
E ne suis pas tant abusé
Que de me vouloir entremestre
De corriger les faiz du maistre
Qui est du mestier tant rusé.
- ↑ cxxiv. Ce quatrain, rimé sans doute par Blosseville, est
la réponse à la pièce précédente.