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terres en est une aussi. Les Chardons *

[* Il faut prendre garde de n’y pas mêler le Chardons-à-foulon ou des bonnetiers qui n’est pas un vrai Chardon.] sont des fleuronnées ; j’ai déjà dit que la Scorsonere & le Pissenlit sont des demi-fleuronnées. Toutes ces fleurs sont assez grosses pour pouvoir être disséquées & étudiées à l’œil nud sans le fatiguer beaucoup.

Je ne vous en dirai pas davantage aujourd’hui sur la famille ou classe des composées. Je tremble déjà d’avoir trop abuse de votre patience par des détails que j’aurois rendus plus clairs si j’avois su les rendre plus courts ; mais il m’est impossible de sauver la difficulté qui naît de la petitesse des objets. Bonjour, chere Cousine.

LETTRE VII.

Sur Les Arbres Fruitiers.

J’attendons de nouvelles, chere Cousine, sans impatience, parce que M..T. que j’avois vu depuis la réception de votre précédente Lettre m’avoit dit avoir laisse votre maman & toute votre famille en bonne santé. Je me réjouis d’en avoir la confirmation par vous-même, ainsi que des bonnes & fraîches nouvelles que vous me donnez de ma tante Gonceru. Son souvenir cet sa bénédiction ont épanoui de joie un cœur à qui depuis long-tems on ne suit plus gueres éprouver