« Page:Sully Prudhomme - Œuvres, Poésies 1865-1866.djvu/57 » : différence entre les versions
Apparence
m Phe: split |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée |
Version du 21 juillet 2013 à 15:18
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Et comme les astres penchants
Nous quittent, mais au ciel demeurent,
Les prunelles ont leurs couchants,
Mais il n’est pas vrai qu’elles meurent.
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux,
Ouverts à quelque immense aurore,
De l’autre côté des tombeaux
Les yeux qu’on ferme voient encore.