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« Page:Doyle - Sherlock Holmes triomphe.djvu/38 » : différence entre les versions

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mais, à mon avis, cette affaire paraît plutôt
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ressortir du domaine du Dr Watson que du
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vôtre.
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— En tout cas, de la folie, et une folie
— En tout cas, de la folie, et une folie
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extraordinaire. Croiriez-vous qu’il existe, de
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nos jours, un homme qui nourrit une telle
haine contre Napoléon I<sup><small>er</small></sup>, qu’il brise impitoyablement
haine contre Napoléon I<sup><small>er</small></sup>, qu’il brise impitoyablement
toutes les statues qui le représentent.
toutes les statues qui le représentent.

Version du 6 février 2008 à 20:36

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— Rien d’intéressant ? dit-il.

— Non, monsieur Holmes, rien de particulier.

— Alors… dites-le-moi.

Lestrade se mit à rire.

— Eh bien, monsieur Holmes, je n’ai pas besoin de nier. Oui, il y a bien quelque chose qui me préoccupe, et pourtant, c’est si stupide que j’hésite à vous ennuyer en vous le racontant ; d’un autre côté, l’événement, tout en ne sortant pas de la banalité, paraît cependant assez bizarre. Je sais, il est vrai, que vous avez un goût marqué pour ce qui sort de l’ordinaire, mais, à mon avis, cette affaire paraît plutôt ressortir du domaine du Dr Watson que du vôtre.

— Une maladie ? demandai-je.

— En tout cas, de la folie, et une folie extraordinaire. Croiriez-vous qu’il existe, de nos jours, un homme qui nourrit une telle haine contre Napoléon Ier, qu’il brise impitoyablement toutes les statues qui le représentent.

Holmes s’enfonça dans sa chaise.

— Cela ne me regarde pas, dit-il.

— C’est précisément ce que je viens de dire.