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veux frisent aussi naturellement ! Je ne l’aurais pas cru !
CORNEAU.
Je suis né ondulé, Comtesse…
MADEMOISELLE FOREAU, (en s’en allant.)
Thyra !… je vous envie de vivre ainsi dans un murmure d’admiration ! Que ce doit être beau d’être ainsi fêtée…
THYRA.
Mais ce que je donnerais, moi, pour avoir votre talent ! (Au prince.) Vous restez, Philippe !
LE PRINCE.
J’attends !
(Thyra s’en va. Lignières reste le dernier. Il cause quelques instants avec le prince sur le pas de la porte.)
Scène IX
LE PRINCE, LIGNIERES
LE PRINCE.
Ah ! quel joli moment de Paris que le mois de mai. J’arrive d’une garden-party à Bagatelle.
LIGNIÈRES.
Vous portez la joie en vous ! et sur vous !
LE PRINCE.
Ma foi, oui ! Je ne le dois qu’à ma fiancée ! Espérons que la femme continuera.
LIGNIÈRES.
Soyez-en sûr ! Vous avez raison d’épouser