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Que faut-il penser de notre puissance d’assimilation ?
Que faut-il penser de notre puissance d’assimilation ?

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la chronique

par un univers que nous avions secoué et mécontenté à tort et à travers. Il ne suffit pas non plus de jouer dans un salon une comédie en français

— et cela parce que notre répertoire en ce genre est le plus complet et le plus varié auquel des amateurs puissent avoir recours — pour qu’immédiatement la prééminence de notre génie s’impose aux acteurs et aux auditeurs... Ce sont là de gentils points de vue mais dont l’importance n’est pas considérable.

Sommes-nous assimilateurs ?

Que faut-il penser de notre puissance d’assimilation ?

M. Novicow la déclare supérieure à toute 

autre et se réjouit que le recensement de 1901 ait accusé la présence en France de 1.037.778 étrangers ; il mentionne sans s’y arrêter le chiffre minime — 1998 — des naturalisations opérées cette année-là. L’écart entre les deux nombres aurait dû pourtant lui ouvrir les yeux. Une nationalité vraiment prenante, par exemple la nationalité américaine, exercerait sur les étrangers venus s’asseoir à son foyer une action bien autre-