Traité élémentaire de la peinture/291
Apparence
Traduction par Roland Fréart de Chambray.
Texte établi par Jean-François Deterville, Deterville, Libraire, 1803 (nouv. éd. revue, corrigée et augmentée de la Vie de l’Auteur) (p. 236).
Texte établi par Jean-François Deterville, Deterville, Libraire, 1803 (nouv. éd. revue, corrigée et augmentée de la Vie de l’Auteur) (p. 236).
CHAPITRE CCXCI.
Des termes ou des extrémités des corps, qu’on appelle profilures ou contours.
Les contours des corps sont si peu sensibles à l’œil, que pour la moindre distance qu’il y a entre l’œil et son objet, il ne sauroit discerner le visage de son ami ou de son parent, qu’il ne reconnoît guère qu’à leur habit et à leur contenance : de sorte que par la connoissance du Tout, il vient à celle de la partie.