Une nuit dans un harem maure/Conclusion

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The Power of lust (extract A night in a moorish harem) Une nuit dans un harem maure
Headline Book Publishing PLC (p. 423-425).

Chapitre XV

Conclusion

Renée conclut ainsi et elle attendit sa récompense. C’était enfin son tour. J’avais éveillé en profondeur les entrailles de huit de ces belles femmes et elles avaient joui sous mon étreinte. À quatre d’entre elles, j’avais payé un tribut de sperme. La nuit serait dignement couronnée par un hommage à la dernière et la plus belle.

Elle s’étendit de tout son long au milieu des coussins, la tête posée sur le dos de Laura. La charmante française me lança alors un regard séducteur sous ses longs cils et elle ouvrit ses gracieuses jambes fuselées.

Je m’agenouillai entre elles et embrassai ses belles cuisses blanches comme neige, tout près des épais poils roux qui les ornaient. Je plantai un autre baiser sur son ventre lisse et rond juste au-dessus de son pubis. Je volai des baisers voluptueux aux tétons roses de chacun de ses seins charnus, puis mes lèvres s’attardèrent sur le bouton de rose de sa bouche. Elle enroula ses doux bras blancs autour de moi pendant que je m’étendais sur son beau corps puis elle guida de ses doigts de lis mon gland vers le paradis qu’il recherchait.

J’y frayai lentement mon chemin. C’était délicieusement serré et élastique et chaud et juteux. Je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour que ma tige entre complètement et je sentis aussitôt le corps de Renée tressaillir sous moi, puis se relâcher et s’abandonner. Ses bras relâchèrent leur étreinte et son fourreau se détendit, trempé d’humidité.

« Reste allongé encore une minute, murmura-t-elle, et je pourrai te finir ».

Je m’étendis sur elle, mon gland trempé dans les replis les plus intérieurs de son ventre.

La taille de Laura lui servait encore d’oreiller et ma bouche quittait la bouche rose de Renée pour embrasser les gros seins de Laura, si commodément proches, et mes doigts fouillaient la gaine tout aussi commode de Laura.

Inez se blottit contre nous et cacha les doigts de mon autre main entre ses cuisses.

Hélène, agenouillée de l’autre côté, caressait doucement mes bourses de ses doigts fins.

Zuleika, Myrzella et Virginia m’embrassaient le dos, les épaules et le cou.

J’abandonnai mes pieds à Amie et El Jelis, qui s’assirent en prenant chacune un pied entre leurs cuisses de sorte que mes orteils pouvaient fouiller leur grotte.

Les caresses de ces neuf femmes charmantes et amoureuses me communiquèrent rapidement un excès de vigueur. Mon membre redevint parfaitement rigide.

Renée se réveilla pour assumer la responsabilité qui était la sienne. En signe qu’elle était de nouveau prête, elle darda sa langue dans ma bouche pendant que je suçais ses lèvres. Son fourreau se resserra à nouveau et je sentis ses membranes les plus intimes se contracter convulsivement et se saisir lascivement de mon gland. Je répondis en lui donnant une poussée profonde et prolongée, puis prenant appui sur mes orteils dans les chaudes vulves où ils reposaient, j’enfonçai complètement ma hampe dans son écrin. Renée gonflait son ventre pour venir au-devant de chacune de mes poussées. Je sentis le plaisir monter. La moelle même de mes os semblait envahir mes glandes vidées. Mon rythme devint plus rapide, jusqu’à ce que les nerfs de ma queue semblent mis à nu.

Renée redoubla d’efforts. Tout en soulevant son ventre pour venir à ma rencontre, elle lui imprima un mouvement de rotation qui le fit onduler autour de mon gland. Le moment suprême arriva enfin et mon plaisir explosa. C’est toute mon énergie vitale qui semblait ainsi jaillir. Je poussai un profond gémissement d’extase et je m’écroulai comme une masse presque inanimée sur le corps brûlant et haletant de Renée. Elle continua d’enserrer mon membre hampe pour compléter son propre plaisir, et put encore extraire de moi quelques gouttes après que je complètement anéanti. J’entendis plusieurs femmes mêler leurs soupirs aux siens, et mes doigts et mes orteils baignaient dans les fluides qu’elles répandaient en même temps que nous. Je restai longtemps incapable de bouger, complètement rassasié.

« Ça fera un autre garçon aux yeux bleus, dit Myrzella.

— J’ai l’impression que ce sont des jumeaux », déclara Renée, exerçant une pression de plus sur mon membre rétréci.

Quand j’eus récupéré suffisamment pour pouvoir bouger, mon premier regard alla vers l’horloge. L’aube était proche, et il fallait que je parte. Elles m’aidèrent à m’habiller, car je n’avais pas la force d’un chaton. Chacune d’elles échangea avec moi un tendre baiser, puis je passai par la fenêtre où pendait la corde de châles — mais je me sentais trop faible pour grimper. J’attachai la corde autour de mes bras et elle se mirent ensemble pour le faire descendre en toute sécurité.

J’éloignai ma barque de la rive et mis la voile. La brise de terre venait de se lever et à peine avais-je gagné le large que j’aperçus mon vaisseau aller et venir à ma recherche. Une heure plus tard, j’étais en sécurité à bord.