Une oubliée — Madame Cottin d’après sa correspondance/Bibliographie

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Les éditions des œuvres de Mme Cottin sont très nombreuses. Le catalogue de la Bibliothèque Nationale en fournit une liste considérable. Celles de 1798, 1800, 1802, 1805 ont disparu, à moins qu’il ne s’en trouve dans quelque maison de campagne au plus reculé de la province, où elles avaient pénétré. En sorte qu’on ne connaît même pas le nom des premiers éditeurs. Les plus anciens volumes qu’on retrouve aujourd’hui, incomplets, dépareillés, sont de 1806, édités par Michaud seul, ou Michaud et Giguet. Il y a eu les œuvres complètes, ou des éditions de volumes séparés ; la dernière est de 1896. Certaines sont précédées de notices sur l’auteur. Les romans ont été traduits en espagnol, portugais, italien, anglais. Beaucoup sont accompagnés de portraits et, en général, du buste sculpté par de Seyne, dessiné par Picon, gravé par Caron. (Le portrait placé en tête de cet ouvrage est celui du Plutarque Français, dans l’article d’Allissan du Chazet. La dernière image représente le bas-relief d’Escoula.)