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Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome1/Principales corrections

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PRINCIPALES CORRECTIONS


Tome I, p. 1, ligne 5 : « Membre de l’Académie française de la Crusca. » Il faut une virgule : « Membre de l’Académie française, de la Crusca. »

Tome II, p. vi. « Dans la dix-huitième des Lettres sur les Anglais, publiées en 1732, » lisez : en 1733, ou mieux en 1734 (33, l’édition en anglais ; 34, l’édition en français).

Ibid., p. 38. « Œdipe dit à Jocaste (acte Ier...) », lisez : « Œdipe dit à Jocaste (acte III...) ».

Tome X, page 98, note 2, deuxième ligne. Il faut 1757, et non 1758.

Tome X, épître xi, à Samuel Bernard, p. 230. Cette épître, classée sous l’année 1716, ne peut être que de 1731 à 1733.

Tome X, épître à Mme Denis, p. 344. — 1749, et non 1748.

Tome X, épître xcvii, p. 389. Cettre épître, datée de 1766, est de 1765 ; elle se trouve dans l’Almanach des Muses de 1766, ou Choix des meilleures pièces de poésies fugitives, qui ont paru en 1765. C’est la réponse à une épître du chevalier de Boufflers qui commence ainsi :

Je fus, dans mon printemps, guidé par la folie.

Tome X, page 567, note 1 : « Le quatrain peut être de la même année (1761). » Bettinelli rendit visite à Voltaire au mois de novembre 1758. Voyez ci-après le récit qui fait partie des Documents biographiques. Le quatrain no 227 des Poésies mêlées est du mois de décembre suivant.

Tome XXI, p. 5, dernière ligne : « Cette édition, que Beuchot croit sortie des presses de Cramer. » M. Bengesco ne le croit pas, et il paraît même que l’indication de Beuchot ne se rapporte pas à cette édition, mais à une autre de la même année. L’édition de 1768 est, dit M. Bengesco, parisienne et corrompue. Peut-être l’introduction des sommaires pourrait-elle se défendre tout de même. Ces intitulés n’auraient-ils pas été demandés à part à l’auteur ? En tout cas, le lecteur reste juge de l’innovation ; nous en avons fait surtout valoir l’utilité.

Tome XXII, p. 75. L’avertissement de Beuchot est reproduit tel quel ; il s’y trouve quelques erreurs. Il doit être rectifié au moyen de l’article de la Notice bibliographique, tome L, page 530.

Tome XXIV, p. 155. Sur la date de ce Fragment d’une lettre de lord Bolingbroke, voyez la Notice bibliographique, tome L, page 560.

Tome XXV, page 188, note 2. Ajoutez : « Ce sonnet n’est pas de Zappi, mais de Filicaia ».

Tome XXXIII, page 451. Le dernier paragraphe de la lettre des 4 et 6 novembre à d’Argental ne peut être de l’année 1734, car d’Argental ne se maria qu’en 1737.


Tome XXXVI, page 359, dernière ligne. « Éditeurs, de Cayrol et François. » MM. de Cayrol et François ont en effet donné cette lettre dans leur recueil de 1856. Mais elle avait été antérieurement, en avril 1839, publiée à part par M. Serge Poltoratzki, de Moscou. Nous ne nous sommes pas fait une obligation de rechercher toujours le premier éditeur ; mais, ici, il eût été juste de mentionner la plaquette de M. Poltoratzki de préférence au volume où elle a été réimprimée avec la date inexacte de 1750.


Tome XXXVIII, page 151. M. L.-D. Petit, de Leyde, dans le Livre du 10 novembre 1882, a relevé le post-scriptum suivant de la lettre 2675 : « Je serai mis en prison pour votre ouvrage : voilà l’obligation que je vous aurai. »