Discussion Livre:Du Bellay - La Deffence, et illustration de la langue francoyse.djvu

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Ajouter un sujet
La bibliothèque libre.
Dernier commentaire : il y a 9 ans par Moyogo dans le sujet Transcription
« Du Bellay - La Deffence, et illustration de la langue francoyse.djvu »
  Concept général  
Transcription sans modification aucune (pas même correction des coquilles)
  Modifications du texte  

Modernisations typographiques 

Modernisations orthographiques 

{{{liste_modern}}}

Scanilles particulières 

Remarques 

  Mise en page  

Chapitres, titres 

Tables des matières, tableaux 

{{{liste_tables}}}

Notes en bas de page 

{{{liste_notes}}}

Références internes et externes 

{{{liste_ref}}}

Remarques 

  • {{lang}} pour les mots étrangers (p. 9)
  Contributeurs  

Élaboration 

Modifications 

{{{utilisateur_contrib}}}

Remarques 

{{{rem_utilisateur}}}

  Voir aussi  
Affichage par pagesTypographie en généralListe des modèles


Transcription[modifier]

J’ai choisi Transcription sans modification aucune (pas même correction des coquilles) car dans ce genre de texte ancien, il est très difficile de savoir ce qui est une coquille et ce qui ne l’est pas.

Sinon, la transcription stricte pose problème car Unicode ne possède pas tout les caractères de l’époque. Impossible donc de faire un « ct ligaturé ». Les lettres possibles (à ma connaissance) sont : ę, ã, ẽ, ĩ, õ, ũ , ñ, p̃, q̃, ̧p, p̠, q̠ (pour les cinq derniers le rendu est pas toujours terribles, le diacritique se trouve décalé par rapport à la panse ou au jambage).

Cdlt, VIGNERON * discut. 24 septembre 2009 à 09:05 (UTC)Répondre

Il faudrait peut-être distinguer
  • de qui est du domaine de la simple ligature purement typographique et optionnelle (ct, ſt, ff, fl) et jamais orthographique (et qui peut être restituée automatiquement par les polices utilisées, raison pour laquelle la plupart de ces ligatures ne sont pas encodée dans Unicode, hormi quelques unes uniquement comme caractères de compatibilité avec d'anciennes normes, telles ff, ff, fi, ffl, ffi, qui ne sont pas recommandées) : ces ligatures étant produites automatiquement par les polices de caractères utilisées, on ne doit pas les saisir explictement (on peut interdire éventuellement une ligature en insérant des ZWNJ entre les lettres à ne pas ligaturer, mais ce n'est pas nécessaire en français, même ancien (ce n'est nécessaire par exemple qu'en allemand moderne à cause de distinctions nouvelles dans cette langue)
  • des diacritiques : la plupart sont des titulus notant d'anciennes abréviations (devenus aujourd'hui des tildes, ou des accents aigus ou circonflexe, ou des cédilles); c'est même le cas des 5 derniers que tu cites, qui ne sont pas des p ou q barrés, mais des variantes où le tilde apparait en bas au travers de la jambe au lieu d'en dessus de la lettre (peut-être par manque de caractères de la part de l'imprimeur).
  • voir aussi le modèle {{prétilde}} pour le cas de la ligature du tilde initial avant la lettre p (car ce n'est pas une cédille, c'est clairement un tilde penché accroché au p, qu'on veut aujourd'hui assimiler à une cédille alors que la cédille a une autre origine, celle d'un ancien z, devenu souscrit quand sa prononciation s'est amuite, puis qui s'est accroché à la lettre (jamais la cédille n'a codé une abréviation comme c'est le cas ici).
Note bien qu'une des pages de garde (pas 4, non totalement déchiffrée) démontre que l'auteur avait bien connaissance des accents et diacritiques : pour le grec, puisqu'on y voit noté clairement accents aigus, graves, tildes (circonflexe grec), tréma, ansi que les esprits doux et rudes, et encore les iota souscrits (plus un tau souscrit comme marque d'abréviation).
— Verdy_p (d) 19 octobre 2009 à 14:14 (UTC)Répondre
Notification VIGNERON et Verdy p : Il faudrait plutôt utiliser le p parafe ‹  ›, il n’y a aucune raison d’avoir {{prétilde}}. --Moyogo (d) 18 août 2014 à 23:28 (UTC)Répondre