Page:Œuvres d’Éphraïm Mikhaël (Lemerre, 1890).djvu/146

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Cest un soir de silence et de deuil tendre,
Tous les lys du jardin tremblent un peu ;
Les ormes de l’allée ont l’air d’attendre,
On dirait que les vents pleurent un dieu.

Et les cygnes ont peur sur l’eau…
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