Page:Œuvres d’Éphraïm Mikhaël (Lemerre, 1890).djvu/177

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Ces deux-là s’effacent, se brouillent, se perdent dans la grande grisaille de là-bas. D’autres m’apparaissent ainsi. Et j’ai le rêve — un bref instant — que le ciel engloutit un à un ces arbres fantômes.

2 février 1890.