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PARACELSE

duire, mais, au contraire, que la fornication, l’avarice, et autres vices dégradants ne fassent périr le peuple poussé dans la foi (perverse), d’où ils ont fait agir la foi sans penser mal faire, et ont produit, par elle, beaucoup de maux, de nombreuses fornications et friponneries, que le Diable excite ; c’est pourquoi il agit toujours ainsi, et pourquoi il provoque un tel sacerdoce[1]. Autrement il (le Diable) n’eût rien suscité par les signes, qu’ils aient été grands ou petits ; mais il peut également élever son royaume à côté ; aussi a-t-il soin, là où de tels signes se produisent, de se trouver là également[2].

  1. Forberger a supprimé tout ce qui suit.
  2. Toute la fin de ce chapitre a été complètement défigurée par Palthenius.