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Page:Œuvres de monsieur Nivelle de La Chaussée, 1762, tome 2.djvu/362

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Doligni pere.

Mon fils ne peut jamais être mieux assorti.

Mad. Argant, à Marianne.

Qu’on le fasse venir.

Marianne.

Qu’on le fasse venir.Madame, il est sorti.

Mad. Argant.

Tout-à-l’heure il étoit là-dedans ; qu’on y voye.

Marianne.

Il doit avoir pris son parti.

Mad. Argant.

Allez, vous dis-je, allez ; faites qu’on me l’envoye.

Marianne, à part.

Bon ; le voici qui vient.

Mr. Argant, bas, à Doligni pere.

Bon ; le voici qui vient.Il n’est pas averti.



Scène VIII.

DOLIGNI fils, Mr. ARGANT, Mad. ARGANT, DOLIGNI pere, MARIANNE.
Mad. Argant.

Messieurs, il vous plaira de garder le silence :
Faites-vous cette violence.
Qu’ici l’autorité se taise absolument ;