Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/84

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Et le bonheur plus grand encore de voir luire
Aux yeux inconsolés une lueur d’espoir,
Et de donner, avec un fraternel sourire,
Un peu de paix à ceux qu’épouvante le soir.

Mais ne crois pas pourtant, ami, que je t’oublie
Quand je me prête à tous avec un clair regard :
Je te garde en mon cœur plus vivant que ma vie ;
C’est toi qui, de mon être, as la meilleure part.