après la troisième syllabe, l’autre après la sixième.
Oui ! c’est Dieu — qui t’appelle — et t’éclaire !
À tes yeux — a brillé — sa lumière,
En tes mains — il remet — sa bannière.
Avec elle — apparais — dans nos rangs,
Et des grands — cette fou — le si fière
Va par toi — se réduire — en poussière,
Car le ciel — t’a choisi — sur la terre
Pour frapper — et punir — les tyrans !
après la quatrième syllabe.
L’Amour forgeait. — Au bruit de son enclume.
Tous les oiseaux, — troublés, rouvraient les yeux ;
Car c’était l’heure — où se répand la brume.
Où sur les monts, — comme un feu qui s’allume.
Brille Vénus, — l’escarboucle des cieux.
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la cinquième et la sixième syllabe.
J’ai dit à mon cœur, — à mon faible cœur ;
N’est-ce point assez — de tant de tristesse ?
Et ne vois-tu pas — que changer sans cesse
C’est à chaque pas — trouver la douleur ?
Il m’a répondu : — Ce n’est point assez.
Ce n’est point assez — de tant de tristesse ;
Et ne vois-tu pas — que changer sans cesse
Nous rend doux et chers — les chagrins passés ?
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