Page:Barneville - Le Rythme dans la poésie française, 1898.djvu/129

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Viens, je sais le val des fraises,
Je te tresse
Un lien de marjolaines…
Tu te détournes, tu muses
Aux bouquets blancs des sureaux ?
Je détache ta ceinture
Et je cueille ton sanglot.

L’eau lascive au loin s’argente,
L’eau qui rêve, l’eau qui chante,
L’eau qui fuit sous les roseaux.
· · · · · · · · · · · ·

Concluons donc que nous nous trouvons là en présence d’une partie de notre métrique dont l’évolution reste inachevée.