Page:Barneville - Le Rythme dans la poésie française, 1898.djvu/130

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

IX

Si maintenant c’était en lui-même et non plus comme partie constitutive d’un ensemble que nous voulions étudier notre vers, nous verrions d’abord la rime y prendre un caractère différent de celui qu’elle revêt dans la strophe. Nous ne la pourrions plus considérer ici qu’à titre de césure finale.

Nous savons qu’aux diverses époques de notre histoire les poètes se sont vis-à-vis de la césure comportés de façons bien contradictoires, et que, récemment, après avoir, en toutes sortes de vers, essayé de la placer de toutes sortes de façons, on a fini par s’en passer.