Page:Bouniol - Les rues de Paris, 3.djvu/205

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l’J7 Gaiug de soc et d’are nue (labourage) Nos convertit en arméiire (armure) ; Por chacune rue regarde Où voie la belle musarde ; Partout regarde, partout muse ; Ses argenz faut ’gaspille) et sa robe uze : Or est tout au recoumaucier (recommencer). Ne fait or bien ce semancier En carême que l’on doit faire. Chose qui à Dieu doive plaire. En lieu de haircs haubers vestent. Et boivent tant qu’ils s’entêtent. École Polytechnique : Getto Ecole célèbre, fondée, en 1794, sous le titre de : École centrale des Ti^avaux publics, parce qu’elle était destinée surtout à former des ingénieurs, prit le nom d’École Polytechnique que lui donna la loi du 1" septembre 1795, modifiant son organisation. Les savants les plus illustres de l’époque, Lagrange, Laplace, Bertbollet, Fourcroy, Monge, etc., tinrent à honneur d’y professer. Les élèves se réunissaient dans les amphitéàtres du Palais-Bourbon ; mais, après le décret du 16 juillet 1804, qui déclara qu’à l’avenir ils seraient casernes, l’Ecole fut transférée sur la montagne SainteGeneviève, dans le local qu’elle occupe aujourd’hui. L’admission a toujours lieu par voie de concours, et des examinateurs spéciaux en décident. La durée des cours est de deux ans, suivis de nouveaux et rigoureux examens. Les élèves s’ils n’ont pas échoué, en sortant fruits- secs j ont le droit de choisir, d’après le rang qu’ils occupent sur la liste dressée par le jury, le service public (ponts-et- chaussées, mines, artillerie, état-major, et«i.) dans lequel ils veulent entrer. Aux derniers nécessaire