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IV
Je me réveillai parfaitement remise de mes émotions et de mes fatigues de la veille, avec tout mon courage et toute la clarté de mes idées.
À peine avais-je fini de m’habiller, qu’on frappa à ma porte.
— Entrez.
Au lieu de la fille de chambre que je m’attendais à voir, ce fut une espèce de portefaix qui entra.
— Donnez-moi vos clefs, miss, me dit-il dans le plus étrange anglais.
— Pourquoi faire ?