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118. EMPSON (William) (Trad.). La double intrigue et l'ironie dans le Théâtre élisabéthain. Remarques sur l’effet et l’utilité des scènes comiques intercalées entre les scènes sérieuses.

119. AYNARD (Joseph). Exotisme et humanisme dans la poésie élisabéthaine. Cette poésie « se complaît à peindre l’étranger » la culture étrangère exerce une influence considérable, jusqu’au moment où le puritanisme amènera l’Angleterre à se replier sur elle-même.

120. RIBEMONT-DESSAIGNES (G.). A propos de Webster et de quelques femmes. Considérations sur les effets comparés du théâtre et du cinéma, pour commenter certaines brutalités du théâtre dé Webster.

121. JOLAS (Eugène). La révolution du langage chez les Elisabéthains. Exemples des néologismes admis dans la langue anglaise à cette « époque de chaos lumineux".

122. CAMILLE (Georgette). Des Travestis (2-5 septembre 1932). « Travestis exceptionnels ou obligatoires de femmes qui veulent s’enfuir ou poursuivre l’homme qu’elles aiment ; travestis intentionnels répondant à « cette volonté de destruction de l’individu qui reste une des plus hautes manifestations de la conscience» et dont l’emploi du masque serait une des conséquences techniques. Cette distinction est expliquée par plusieurs citations commentées.

123. EXIDEUIL (Pierre d’). Vengeance. Importance, dans les œuvres élisabéthaines, du thème de la vengeance, emprunté probablement à Sénèque. Nombreux exemples.

2e partie. La scène

124. CARR (Philip). Souvenirs de mise en scène. L’auteur a mis en scène, à Londres, huit pièces de l’époque élisabéthaine, et préparé la production de quatre autres. Il a été retenu