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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/123

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POÉSIES DE 1830

POÉSIES DE 1830 109 Le 21 juin 1826, elle écrivait encore de Bordeaux, à son oncle : "Il faut qu’il (Latouche) obtienne de M. le libraire (Ladvocat) qu’il fasse mettre deux lignes en note au bas du Lépreux, que cette faible copie est un hommage, ou quelque chose comme cela, rendu à l’auteur du Lépreux de la cité d’Aoste. Et à propos, si le Pauvre Pierre n’est pas adressé à M. Alibert, croyez-vous qu’il soit content ? Arrangez cela selon son goût ; car d’un autre côté c’est bien peu de chose à lui offrir 19. Une autre le verra, tendre et triste auprès d’elle (LE PRESSENTIMENT). 20. Laisse ! j’ai vu tes yeux, dans leur douce lumière (LE REGARD). Publiée d’abord dans le Keepsake français, 1830. 21. Vous à peine entrevus au terrestre séjour (AUX ENFANTS QUI NE SONT PLUS). Publiée d’abord dans le Kaleidoscope, 1827. Se trouve aussi dans l’Album nº I de la Bibliothèque de Douai, avec ce sous- titre:Imité d’un sermon protestant; la pièce y est datée de (1 Bordeaux 1826 22. Avec l’aube toujours ta plainte me réveille (L’IDIOT). Publiée d’abord dans l’Almanach des Dames de 1828. 23. Des roses de Lormont, la rose la plus belle (REGRET). Publiée d’abord dans l’Abeille du Parnasse, sans date. Cette poésie a été écrite en souvenir de Georgina Nairac morte le 6 janvier 1825. Se reporter à la note qui commente la poésie intitulée : A Mile Georgina Nairac. 24. C’est ici… Pardonnez, je respire avec peine (LE RETOUR CHEZ DÉLIE).