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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/170

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156 LES PLEURS 13. C’était un songe : il me parlait (LE SONGE). Publiée d’abord dans l’Almanach des Dames de 1831 (C’était un rêve…) Les vers de Latouche n’avaient pas encore été publiés en volume, quand parurent les Pleurs. 14. Sais-tu qu’une part de ma vie (NE VIENS PAS TROP TARD). 15. Oh ! si j’avais de grandes ailes (SERAIS-TU SEUL ?) Pauline Duchambge a mis cette pièce en musique sous le titre : T’enfuiras-tu ? 16. Et toi, crois-tu comme eux le ciel inexorable ? (PARDON). On se rappelle la lettre à Froussard que nous avons publiée au début de ce chapitre : L’amour de mes enfants comme je l’éprouve, ardent, dévoué, me fera peut-être par- donner l’autre. Si une punition triste et éternelle suivait une vie si orageuse et si amère, mon âme éclaterait de douleur., (Lettre inédite conservée à la Bibliothèque de Douai). Dans une lettre à Gergerès, Marceline citant les derniers vers de ce poème (Dieu n’a pas dit : Brisez son facile cou- rage, etc…), ajoute : "Voilà mon portrait., , (Lyon, 16 mai 1829). 17. Vous aussi, vous m’avez trompée (LES AILES D’ANGE). Publiée d’abord dans les Annales romantiques de 1832 et, l’année précédente, dans le Mémorial de la Scarpe, avec la note suivante de la Rédaction : "Cette romance, qui vient d’être mise en musique par notre compatriote M. Colin, se trouve sur tous les pupitres de Paris. Voir la lettre de Marceline à Duthilloul (Lyon, 21 janvier 1831) que nous avons publiée au cours de notre notice sur Le Bouquet sous la croix. }} 18. O menteur ! qui disait sa vie (SEULE AU RENDEZ- VOUS).