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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/197

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LES PLEURS 183 Publiée d’abord dans le Chansonnier des Grâces de 1833. Le Pêcheur de Goethe, auquel est empruntée cette épi- graphe, ne fait point partie des Poésies allemandes traduites par Gérard de Nerval en 1830. 57. Entends-tu les gondoles (TROIS NOCTURNES. Imita- tion de Moore). 58. Quand le soleil couchant sur les flots se balance (id.). 59. Sur l’eau qui nous balance (id.). Le premier nocturne avait déjà paru dans le Kaleïdoscope de 1826, dans le Chansonnier des Dames de 1827, dans le Souvenir des Ménestrels de 1827, sous le titre : Belle, viens à moi (musique de A. Panseron), et dans la Guirlande des Da- mes de 1829. Le second nocturne avait été publié dans le Kaleidoscope, 18.5, dans la Psyché, 1826, dans l’Hommage aux Dames de 1827, et dans la Guirlande des Dames de 1829. Le troisième nocturne a été imprimé dans la Psyché, 1826, sous le titre : Barcarolle, et dans l’Almanach des Dames de 1828. 60. Sur les bords d’une source où fermente la vie (LES TROIS BARQUES DE MOORE). 61. Mon cœeur battait à peine et vous l’avez formé (ADIEU D’UNE PETITE FILLE À L’ÉCOLE). Voici la notice que M. Bertrand Guégan a consacrée à Madeleine Desroches, dont quelques vers s’inscrivent en tête de cette pièce et du Premier chagrin d’un enfant : "Madeleine Desroches, née à Poitiers vers 1530, jouit d’une réputation assez étendue pour son esprit et sa beauté. De son mariage avec André Fredonnet, sieur des Roches, elle eut une fille, nommée Catherine, dont elle soigna elle-même l’éducation, et qui eut plus de talent que sa mère. L’illustre