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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/270

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256 PAUVRES FLEURS Sainte-Beuve a noté qu’au 77e vers de cette pièce, le mot qui se lit bazar dans l’édition originale doit être corrigé en hasard. 68. Quel chant divin se fait entendre ? (NOËL, imité de Goudouli). 69. Avant ce parfum du temps qui tout consume (LE PARFUM D’UN ALBUM). 70. Jeune âme ! qui venez regarder sur la terre (A MA- DEMOISELLE A….). 71. Quoi ! vous voulez savoir le secret de mon sort (A QUI ME L’A DEMANDÉ). Ce quatrain a peut-être été écrit pour Antoine de Latour, qui en 1836, avait demandé à Marceline des détails sur sa vie et ses travaux, afin d’écrire un article sur elle. M. Jacques Boulenger a donné une version différente des deux derniers vers. Cette version, qui est celle du manuscrit original, modifie considérablement le sens de la pièce : "Mon secret, c’est un nom ; ma souffrance, la vie ; "Mon effroi, la pensée, et mon espoir, la Mort !, 72. Donnez-lui du mystère (ELLE A VOULU MOURIR). Cette poésie figure sous le titre : Morte dans l’album N° 10 de la Bibliothèque de Douai. Elle y est datée de juin 1838. 73. Pasteur ! est-il loin encore (LA PAUVRE ORPHELINE). Publiée pour la première fois dans l’Album lyrique (1834) sous le titre : Le monastère, avec musique de Pauline Duchambge. 74. Cache bien cette fleur (LE MARIAGE D’UNE JEUNE REINE). Publiée d’abord dans la Revue poétique du XIX siècle, 1835, et dans l’Abeille, 1836. 75. A genoux ! l’angélus appelle ! (ANGELUS).