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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/403

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POÉSIES INÉDITES DE 1860

POÉSIES INÉDITES DE 1860 389 66. Mère, un cheval est à la porte (SELON DIEU). Cette pièce a été reproduite dans les Poésies de l’En- fance (1868). 67. Petits enfants heureux, que vous savez de choses (AUX NOUVEAU NÉS HEUREUX). 68. Vous qui n’avez jamais parlé (AUX NOUVEAU NÉS PARTIS). 69. Mère, je veux crier et faire un grand tapage (LE PETIT MÉCONTENT). Cette pièce avait été publiée dans le Musée des Familles (1846), et dans les Anges de la Famille (1849) ; elle a été réim- primée dans les Poésies de l’Enfance (1868). 70. J’ai vu bien des enfants mal éclos dans ma vie (LE PETIT BRUTAL). Cette pièce a été réimprimée dans les Poésies de l’En- fance (1868). 71. L’enfant disait au nuage (LE NUAGE ET L’ENFANT). Cette pièce avait déjà paru dans les Anges de la Famille (1849) et dans le Musée des Familles (1855) ; elle a été réimprimée dans les Poésies de l’Enfance (1868) et dans les Contes et scènes de la vie de famille (1865). 72. Les enfants sont venus vous demander des roses (OUVREZ AUX ENFANTS). Cette poésie a été reprise dans les Poésies de l’Enfance (1868). 73. Voix d’enfants, ô voix qui chantez (LA PRIÈRE DES ORPHELINS). Cette pièce a été reproduite dans les Poésies de l’Enfance (1868).