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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/410

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POÉSIES INÉDITES DE 1860

C’est au verso d’une lettre adressée à Cécile que Marceline a tracé ce quatrain ; la lettre porte la date : « 19 août 1852 ».

94. Tant de flamme a brûlé sa vue (À MADAME DE TAV…, DEVENUE AVEUGLE).

95. Son âge encore tenait à l’espérance (À GEORGES P…, TUÉ PRÈS DE SON PÈRE EN 184…)

96. Semez sur lui des fleurs, des fleurs, jeunes pleureuses ! (LES FLEURS DE JEAN PAUL. Sur un enfant).

Ces vers ont été inspirés par une poésie de Jean-Paul Richter, le célèbre et étrange « Jean-Paul » que les Allemands appellent l’« unique ».

97. Calme et sainte maison par beaucoup enviée (À MADEMOISELLE ISAURE PARTARRIEU. Elle avait mis mon portrait parmi ses colombes).

98. Quand mon ombre au soleil tremble seul et s’incline (L’AMIE).

99. Toute fleur bénit sur la terre (L’AUMÔNE).

Cette pièce a été réimprimée en 1868 dans les Poésies de l’Enfance.

100. L’air est brûlant, la valse tourne et vole (L’INVITATION À LA VALSE).

101. Une église sans lumière (L’ANGE ET LA COQUETTE).

Cette poésie a paru pour la première fois dans le Papillon du 16 Mars 1834. 102. L’autre nuit, le voisin qui pleure (LE VOISIN BLESSÉ).

103. Cesse de m’apprendre (OÙ VAS-TU ?)

104. Vois-tu, si j’avais ta beauté (LES DEUX MARINIÈRES).