Page:Cicéron - Œuvres complètes - Panckoucke 1830, t.7.djvu/508

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(105). Au milieu de ces Rhodiens. Allusion au voyage que Cicéron avait fait à Rhodes.

XLVI. (106). En face de l’image de Sérapis. Le dieu Sérapis, qui, jusqu’à la conquête de l’Égypte par Alexandre, n’avait été adoré que dans quelques villes de ce pays, devint, sous les Ptolémées, la principale divinité de l’Égypte, et son culte se répandit en Asie, en Grèce et en Italie.

LXIX. (107). Des laboureurs. Ici Gruter a prétendu que ces mots contemnendorum aratorum ont passé du texte dans la glose. M. V. Le Clerc est de cette opinion.

LXX. (108). Un sous-administrateur. On appelait magister le chef ou administrateur de l’association, etpro magistro un subdélégué, un sous-administrateur.

(109). Où il rendait la justice. Il y a dans le texte circum omnia fora. On appelait forum toute ville où le préteur rendait la justice.

LXXI. (110). . Que sa naissance élève au plus haut rang. Le préteur L. Aurelius Cotta, qui, par sa loi, portée cette année même 684, fit rendre en partie l’administration de la justice aux chevaliers romains.

LXXIII. (111). Quelques traces. — Assequi est ici dans un sens passif : à moins qu’au risque de donner un démenti à tous les manuscrits et à toutes les éditions, on substitue investigare au verbe passif investigari qui précède.

LXXV. (112). Soixante mille sesterces. Sept mille cinq cent livres.

(113). Un million deux cent mille sesterces. Cent cinquante mille livres.

LXXVI. (114). Les mêmes consuls. Les Romains désignaient les années par les consuls. Consulibus est ici synonyme de annis.

LXXVII. (115). L’esclave chargé de la rédaction des registres. Chez les Romains, c’étaient des esclaves qui faisaient les fonctions de commis et de secrétaires.