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Page:Compain - La vie tragique de Geneviève, 1912.pdf/122

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LA VIE TRAGIQUE DE GENEVIÈVE

III Ce fut par une matinée de fin d’automne ensoleillé que Geneviève s’en alla vers ce quartier de Paris proche de sa demeure, qui est à la fois le grenier du linge et des étoffes et le centre manufacturier où reviennent, convertis en vêtements de vêtements de toutes sortes (chemises, jupons, robes), les matériaux qui furent d’abord centralisés de tous les coins de la France. Ignorante, elle passa devant les magasins où le linge blanc, depuis la cotonnade la plus commune jusqu’à la batiste diaphane, s’entasse sur des hauteurs de plusieurs étages ; 7.