Page:Compain - La vie tragique de Geneviève, 1912.pdf/157

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
152
LA VIE TRAGIQUE DE GENEVIÈVE

152 et, au-dessus d’elle, vibrait encore le bourdon- nement de la machine de Geneviève qui, comme un sanglot, s’échappait des huis mal joints de la vieille maison, où tant de femmes s’épuisaient pour ne pas mourir. Et la plainte traversait la cour, se grossissait d’autres sanglots semblables, pour s’en aller mourir plus loin que les villes, plus haut que les montagnes, dans l’espace morne, sans avoir éveillé la Justice !