Page:Créquy - Souvenirs, tome 10.djvu/204

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

aist neut petils pour voux, cher et bienamé ! Car trop est chastié quy dans autruy est chastié et dans son prestieux amy par espécil ! vouz diroy-je ancore que plusieurs se mectent en peine de fayre les bons varlets et de parlementer pour lacquord avecque l’Angloys et soubs semblant de bone amityé pour moy, où j’ay neulle fyance, mais ne vouz osay-je escrire plus clerement par doubte des chemyns. Je prye Dieu que il vouz doigne aultant de bien que je voudroye, il souffrirait, par Dieu ! escryt de ma mayn en grant liaste et byen désirant vouz voyr, estant vostre bon amy et par Dieu, bien vostre !


« CHARLE. »