Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/119

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de près et avec fixité, pour tirer vengeance de ce qu’elle m’évite sans cesse, et de grand cœur, ensuite, je lui laisserais la tranquillité.

Canzone, va-t’en droit à cette Dame qui m’a frappé le cœur, et qui me dérobe ce dont j’ai le plus vif désir,—et donne-lui d’une flèche parle cœur… : qu’un noble honneur s’acquitte en tirant sa vengeance !