Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/146

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LIVRE QUATRIÈME.

CANZONE I.

Il veut peindre lu lulle qui eut lieu en lui, quand il se blâma d’avoir aimé la dame (Hoir lime 1"J qui le détonrna de la pensée de Béalrice. (ttoir auïttotfe.)

Vous qui, par votre intelligence, faites mouvoir le troisième ciel, écoutez le discoure qui est (encore) dans mon cœur (dans le fond de moi-même), et que je ne puis dire à d’autres, tant il me semble nouveau : le ciel, qui suit votre impulsion, nobles créatures que vous êtes, m’a mis dans l’état où je me trouve ; d’où le langage (le récit) de la vie que je constate semble s’adresser directement à vous… C’est