Page:Dante - Rimes, 1847, trad. Fertiault.djvu/17

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joignez le flambeau de ses Rimes, vous aurez un éclat, sinon double, au moins augmenté car jamais, que nous sachions, une lumière n’est restée sans gagner, sans s’accroître de l’approche d’une autre lumière.

Mais, pour bien tenir le (il de ce que nous avons à dire sur ce recueil, et sur la manière dont nous l’avons traduit, qu’il nous soit permis de répondre successivement à trois questions que nous allons nous poser, et que voici :

1° Ce travail mérile-t-il d’être fait ?

2° A-t-il déjà été fait ?

3° Comment l’avons-nous fait ?

Les trois réponses devront à peu près venir à bout de faire comprendre notre pensée.

Première Question : — Ce travail me’ritet-il d’être fait ? — Nous nous adressons cette question, à laquelle il nous semble presque oiseux de répondre, uniquement parce que des