-dœuvres au jugement des Maistres. Ses Meteores sont arbitraires et problematiques, mais admirables pourtant. » (Lettres de Jean Chapelain, Impr. Nat., t. I, 1880, p. 189).
Clerselier, tome III, lettre 56, p. 300-305, ajoute ce titre : « Au Reuerend Pere Mersenne, au sujet du liure De Maximis et Minimis de Mr de Fermat », ce qui donne la date, cette critique ayant été jointe à la lettre précédente (p. 484, l. 4). La copie ms., déjà collationnée avec l’exemplaire de l’Institut, est çà et là fautive. Elle faisait partie de la collection La Hire, avec le numéro 9 seconde, au bas de la première page, à gauche ; en haut et à droite on lit le numéro (13) du classement de Poirier.
Ie ſerais bien-aiſe de ne rien dire de l’Eſcrit* que vous m’aués enuoyé, pour ce que ie n’en ſçaurroy dire aucune choſe qui ſoit a l’aduantage de celuy qui l’a compoſé. Mais à cauſe que ie reconnois que c’eſt 5 celuy meſme qui auoit taſché cy-deuant de refuter ma Dioptrique, & que vous me mandez qu’il a enuoyé cecy apres auoir leu ma Geometrie, & s’eſtonnant de ce que ie n’auois point trouué la meſme choſe, c’est a dire (comme i’ay ſujet de l’interpreter) a deſſein d’en- 10