DE HENBIIV. I 631 ', du dict de Biron a esté detestée d'un chascuni J e prie Dieu, Mons' de Fresnes, qu’il vous tienne en sasaincte garde. Escript à Paris, le XI_]° jour de juillet 1602. [ _, . HENRY. . ( ï q ne Nnurvittn. — l602.,;— —_ 1 2 JUILLET.-Ilm':. E Cop. — B. N. Fonds Brienne, Ms. 38, fol. 167 verso'; et fonds Béthune, Ms. 10,344, fol. 26 recto. _ [A M. DE BEAUMONT.] _ EXTBAITI. . . . Toutes les precedentes factions et conspirations cyldevant faictes en ce Royaume estoient excusées et couvertes de quelque pre- texte specieux ; mais n’en recognoistroy dlautre en- ceste cy qu’une pure et extravagante convoitise de regner et s’agrandir à mes despensi et de lamonarchiei françoise ; laquelle entreprise estoit, au reste, tres mal conduicte et avec une extresme confusion et discorde, car il semble que les fau.teurs—d’icelle avoient chacun un but à part, auquel quandils feussent parvenus (cl10se tres dillicile), ils se feussent in- Failliblement entre-battus et ruinez tost aprés les uns les autres. En un seul poinct s'accordoient ils, qui estoit de s'emparer de ma per- sonne, pour en disposer à 'leur plaisir : quoy advenant j’estime qu’ils n’eussent esté si circonspects en mon endroict que je le suis au leur. Et toutesfois le dict duc de Savoye, qui a esté le principal promoteur de ceste maudicte partie, ne m’avoit tant recherché d'amitié qu’il . avoit recommence à faire depuis trois mois, s’eH’orçant me faire accroire qu’il avoit rompu l’envoy en Espagne de ses trois fils aisnez ‘ Le commencement de cette lettre, par Fresnes-Canaye. Nous donnons seulement laquelleHenriIV charge son ambassadeur ici la partie de ces renseignements qui de remettreà la reine Elisabeth la-réponse ne se retrouve point dans le reste de la qui _SI.lll, fOUI’DilÉ SI.lI’ la COI’lSPlI`£ll}lOIl dt? COI’I‘€SPOIld3IlCB, RDI} de DC I’lBH OHIBÈÈPB Biron, des détails qui se retrouvent dans de ce qui peut faire connaître à fond cet les lettres du. 12 et du 2lt juillet à M. de épisode considérable du règne de Henri IV.
