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— Hélas ! dit-elle, c’est dommage, car cela me va si bien !
Rosine voulut détacher le collier ; mais le diable y avait mis la main ; elle demeura longtemps devant le miroir, égarée par mille songes féeriques.
— Pourquoi dirais-je non ? murmura-t-elle. Dieu m’en voudra-t-il parce que j’aurai pris un peu de place au soleil ?
Et comme elle songeait au complot formé contre elle :
— Non, non, jamais à ce prix-là !
Elle saisit le collier et le jeta sur le tapis.
— Eh bien, Rosine, avez-vous fini ? lui cria sa maîtresse.
— Oui, madame. — Que vais-je devenir ? se demanda Rosine. — Une idée ! c’est Dieu qui me l’envoie !