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DE LA PHILOSOPHIE NATURELLE


tire dx = yVf² conſéquent f¹ == " VI y√f² — 2 n — n m h [²f². 2 212 m n hh — M 72 h [²f². m r Mais on a vû (note de l’Art. 20.) que f* = 29 K, or dans la préſente ſuppoſition You (car on a ſuppoſé y V 2 K (h+ m) y ou la diſtance = h) on aura donc 7 (h+ m²). n K h³ hh y y t I www — -2 k n m 1²f² 2 2 dy yy + 72 hh 2 cette valeur de f² dans la derniere équation d x dy 72 112 1² f² d’y + 2 12 y 1² f² — m n h 3 POMA 2 ny 1² f² —12 12 <— 72 72 2 Kl² (h+m) — m h²³ y ² + 12:3 m.h mh ³ 21² K ( h + m Web-d 145 Ir 12 h2 3 Subſtituant à préſent (m + h), & par 2h³y 2Kl² (m+h) mh³ I, on aura dx = —; or on voit par cette équation, en la comparant avec l’équation polaire des ſections coniques, qu’elle peut leur être comparée exactement, à l’exception du coefficient de dy, lequel apprend feulement que cette équation exprime une ſection conique dont on augmente ou diminue les angles en raiſon conſtante, & on conſtruira ainſi cette trajectoire. Soit décrite la ſection conique AQP exprimée par l’équation dx Fig. 18. & 19.