Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/52

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

COMMUNE — 42— COMPAGNONNAGE vincc ; il manquait à la Commune une caution bourgeoise, 376 et sq ; le dévoue- ment des gardes nationaux aux avant- postes, 39o et sq ; les otiiciers choisis après le3 avril sont des hommes capables, 391, mais l’armée n’est plus si bien orga- nisée, 392 ; comment on sacritia l’élite des combattants, 395 ; l’œuvre adminis- trative dans les Commissions et dans les délégations, 395 et sq ; les tentatives de conciliation en avril-mai 71, 408 et sq ; en avril la bourgeoisie républicaine et aisée se contente de taire appel de Thiers mal informé à Thiers mieux informé, 411 et sq ; au fond elle a peur du Socia- lisme, 412 ; l’idée du Congrès des muni- cipalités en 1871, 440 ; l’abdication de la gauche parlementaire achève de perdre la Commune, 441 ; l’entiée des Versail- lais dans Paris, 444 et sq ; la lutte derrière les barricades, 447 ; quartier par quartier, 448 ; les incendies, 456 ; qui en porte les responsabilités ? 357 ; la tin, 460 ; la ré- pression, 467 et sq ; comment moururent les hommes de la Commune, 473 ; au bagne, 483 et sq ; les proscrits, 488 ; quelques considérations, 494 et sq ; oui, la commune fut un mouvement mêlé, patriote, républicain, décentralisateur, 494 ; mais elle fut surtout prolétaire et par là même socialiste, 495 ; le moment où elle éclata fit qu’elle le fut presque exclusivement, 495 ; mais la classe Ou- vrière n’était pas prête pour l’œuvre colossale qui s’imposait et la défaite a mieux valu peut-être, 496. Suite de la répression, XII, 31 et sq. (’omnium’ ^’oiiNcil géiiéral de laj ou simplement Commune. Son élection, XI, 306 ; les tendances diverses, 308 ; elle ne réalise pas l’idée de la Cor- derie, 31o ; pourquoi Paris l’aima, 31o et sq ; ses membres étaient des victimes mais aussi des lutteurs et d’honnêtes gens, 311 ; la manifestation du 28 mars, 312 ; sa première réunion, 313 ; les pre- mières séances, d’après le procès verbal, 315 ; elle semble incohérente, 326 ; mais elle se trouve devant le néant, 327 ; les éléments bourgeois démissionnent, 328 ; Jacobins et fédéralistes, 330 ; il ne faut pas prendre l’opposition d’une manière trop absolue, 330 ; débat sur la publicité des séances, 330 ; comment va-t-elle se définir en face de Versailles, 331 ; majo- rité centraliste et minorité, 332 ; comment la majorité était paralvsée ; caractère des éléments qui lacomposaicntet conditions terribles où elle se débat, 334 ; les organes d’administration font défaut, 335 ; d’où son impuissance et la réapparition du Comité central, 336 ; en face de quelle œuvre immense elle se trouvait, 336 ; le petit personnel lui est fidèle, mais les cadres manquent, 338 ; elle veut être en effet un gouvernement à bon marché, 338 ; enfin la classe ouvrière n’est pas encore capable de l’aider dans cette tâche énorme, 339 ; née six mois plus tôt elle n’aurait pas connu ces difficultés, 340 ; ses efforts d’organisation, 342 cl sq ; elle devient après le 3 avril un Parlement bavard, 378 ; son abdication en matière financière, 38o et sq ; l’absence des délé- gués les plus capables la rend impuis- sante, 386 ; sa politique : il lui était im- possible d’inaugurer délibérément une politique socialiste, 419 et sq ; sa décla- ration au peuple français, 422 ; elle ne peut être considérée comme l’aflirmation de principes de la Commune, 422 ; com- ment elle fut élaborée, 423 ; son socia- lisme était tout entier dans sa lutte armée, 424 ; la lutte de la majorité contre la minorité, 439 ; la minorité se retiie le 16 mai, 439 ; juge Cluseret pendant qne les Versaillais entrent à Paris, 447 ; 457 ; à la mairie du XI e , 468 ; la réunion du jeudi, 463 ; à la mairie du XX 1 ’, 464. Communes (Cf. Municipalités, Maires, etc…). Leurs finances sous le Directoire, V, 164 et sq ; régime qu’on leur impose sous le Consulat, VI, 58 et sq ; projet de loi Martignac sur leur or- ganisation, VII, 228. Commune de Paris (La). Journal de 1848, IX, 23 ; 5t ; 235. Commune révolutionnaitc (La). Société secrète sous l’Empire, X, 87 ; 96 ; ses tentatives de 1854, 99. Communisme. Opposition du commu- nisme moderne et du communisme ru- dimentaire des glaneurs de l’ancien ré- gime, I, 190 ; mouvement instinctif en 1789 de ceux qui comprennent trop tôt, 276 ; son alliance indispensable avec l’individualisme paysan, 520 ; comment la puissance politique croissante du peu- ple l’annonce dès 1792, II, 1116. Communistes. Leur rôle dans les grèves de 1840, VIII, 366 ; leurs relations avec les républicains en 1840, 386 ; la masse est groupée autour de Cabet en 1843, 456 ; leurs relations avec les répu- blicains à cette époque, 457 ; le procès de Tours, 539. Comonfort, X, 135. Compagnie des Eaux (de Paris) au XVIII » siècle, I, 46. Compagnie des Indes, IV, 1661 ; 1739. Compagnonnage. Il n’y a aucune trace de son action en 1789, I, 141 ; il avait été cependant persécuté au XVIIIo siè- cle, 142 ; mais il était paralysé par ses luttes intestines, 143 ; son développe- ment, de 1794 à 1800, V, 265 ; son déve- loppement à l’époque du Consulat, VI, 243 ; sa survivance, son rôle sous le pre- mier Empire, 562 et sq ; les batailles, 564 ; ses rites et ses luttes ; Gavots et Dé »fo- rints, VIII, 227 et sq ; les noms, 230 ; les chansons, 231 ; dès 1848 il est con- damné, IX, 284 ; sa décadence se confirme sous le second Empire, X, 188.