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Page:Lanne - Le Mystère de Quiberon, 1904.djvu/341

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— Ma parole, répondit le général. — Serait-ce encore une parole comme celle de Quiberon ? » répliqua M. Leminthier. Hoche se couvrit la figure de ses deux mains et resta quelque temps plongé dans ses tristes réflexions, sans ajouter un mot[1]… »

  1. Le comte Leminthier était vivant lorsque ce récit fut publié. (Chasle de La Touche, Relation, p. 181.) On voit que l’auteur le prend pour garant.