donnée au commencement du no 39, on trouve que, dans l’hypothèse elliptique qui donne un minimum pour la plus grande erreur, on a
l’aplatissement et le degré correspondant au parallèle moyen égal à Les observations ont été faites avec tant de précision qu’elles ne sont pas susceptibles des erreurs précédentes, quoique fort petites ; il paraît donc qu’on doit les attribuer, au moins en partie, à des causes qui écartent la figure de la Terre de celle d’un ellipsoïde. Mais ce qui le prouve incontestablement, c’est l’aplatissement que l’ensemble de ces erreurs donne à la Terre, aplatissement qui ne peut subsister ni avec les phénomènes de la pesanteur, ni avec ceux de la précession et de la nutation ; car ces phénomènes ne permettent pas de supposer à la Terre un aplatissement plus grand que dans le cas de l’homogénéité, ou au-dessus de
Si dans les équations (B) on fait ou, en degrés, et si l’on suppose
elles donnent les suivantes
Ces équations rentrent dans les équations (A) du no 39, avec la seule différence du signe des erreurs En y appliquant la seconde méthode exposée dans ce numéro, les deux suites (G) du même numéro deviennent