Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 2.djvu/272

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du Soleil, que nous verrons ci-après être trois fois moindre que celle de la Lune.

Il nous reste à considérer le terme

de l’expression de Si l’on nomme et pour le Soleil ce que nous avons nommé et pour la Lune, on aura à fort peu près, en observant que diffère très-peu de et que est à peu près nul dans les syzygies des équinoxes et des solstices,

ce qui change le terme précédent dans celui-ci

Cela posé, si l’on nomme la somme des valeurs de correspondantes à syzygies des équinoxes, on aura

Dans cette expression, et sont les valeurs moyennes entre toutes les valeurs correspondantes de et relatives aux syzygies. La même expression peut représenter encore la somme des valeurs de dans syzygies des solstices, dont la moitié se rapporte aux solstices d’hiver.