et par conséquent,
étant une arbitraire ; les équations différentielles en et donneront ainsi, en les intégrant,
étant quatre arbitraires. L’inclinaison du plan de l’anneau à celui de l’équateur de Saturne est égale à il faut donc, pour que cette inclinaison reste toujours très-petite, que et soient très-petits et que le coefficient soit peu considérable ; or cela n’aurait pas lieu si Saturne était parfaitement sphérique, car alors on aurait
et le coefficient précédent deviendrait il serait par conséquent très-sensible.
Si Saturne est aplati en vertu d’un mouvement de rotation, ce coefficient devient
supposons que soit le Soleil, et que soit la distance du centre de Saturne à son dernier satellite ; nommons la durée d’une révolution sidérale de Saturne, et celle d’une révolution sidérale de son dernier satellite ; la masse de Saturne étant prise pour unité, on a, par le no 25 du Livre II,