Le flux diurne devient ainsi, au moment du minimum de la marée quadrature,
![{\displaystyle {\begin{aligned}&\mathrm {H} \ \sin \varepsilon \ \sin \left(\lambda -{\frac {\pi }{2}}-\mathrm {F} +m\mathrm {T} +my\right)\\-&\mathrm {H} _{\text{ı}}\sin \varepsilon \ \sin \left(\lambda -{\frac {\pi }{2}}-m\mathrm {T} -\mathrm {F} _{\text{ı}}-my\right)\\+&\mathrm {H} '\sin \varepsilon '\sin \left(\lambda -{\frac {\pi }{2}}-\mathrm {F} '+m\mathrm {T} +my\right)\\-&\mathrm {H} '_{\text{ı}}\sin \varepsilon '\sin \left[\lambda -{\frac {\pi }{2}}-m\mathrm {T} -2(m'\mathrm {T} -m\mathrm {T} )-\mathrm {F} '_{\text{ı}}-(2m'-m)y\right].\end{aligned}}}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/73579f12847ad4f7eb6128ed261fee54d64b40c1)
doit peu différer de 
à cause de la lenteur du mouvement du Soleil, comparé à celui de la Lune ; les deux premiers termes de cette fonction se détruisent donc à fort peu près dans les équinoxes. Dans les quadratures des équinoxes d’automne, on a 
égal à 
et 
égal à 
ou à 
les deux derniers termes deviennent
![{\displaystyle \mathrm {H} '\sin \varepsilon '\cos(\lambda -\mathrm {F} '+my)+\mathrm {H} '_{\text{ı}}\sin \varepsilon '\cos \left[\lambda -\mathrm {F} '_{\text{ı}}-(2m'-m)y\right],}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/f5cbf3246069cdbf0e5d71f4d8dc2048e0f170e0)
et il est facile de voir qu’ils sont les mêmes que dans les syzygies des solstices d’été. Donnons-leur cette forme
Dans les quadratures de l’équinoxe du printemps, cette quantité prend un signe contraire.
Dans les syzygies des solstices d’été, le flux diurne, au moment de la haute mer du soir, est, par ce qui précède,
Au moment de la haute mer du matin, il prend un signe contraire. L’excès de l’un sur l’autre, qui, par l’observation, est 
donne donc
L’excès de la basse mer du matin sur celle du soir est
